Jean-Baptiste, François, André Rondeaux

1775 - 1864

Informations générales
  • Né le 1er septembre 1775 à Rouen ( - Généralité de Rouen - France)
  • Décédé le 13 novembre 1864 à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Inférieure - France)

Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés

Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
IIe législature
Mandat
Du 4 février 1834 au 25 mai 1834
Département
Seine-Inférieure
Groupe
Majorité ministérielle
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
VIe législature
Mandat
Du 20 janvier 1846 au 6 juillet 1846
Département
Seine-Inférieure
Groupe
Majorité ministérielle
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
VIIe législature
Mandat
Du 1er août 1846 au 24 février 1848
Département
Seine-Inférieure
Groupe
Majorité ministérielle

Biographies

Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)

Député en 1834 et de 1846 à 1848, né à Rouen (Généralité de Rouen, France) le 1er septembre 1775 « du légitime mariage de Messire Charles Marin François Rondeaux écuyer conseiller du roi et son procureur au bureau des finances, chambre du domaine et voirye de Rouen et de Dame Constance Adélaïde Chapais son épouse », mort à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Inférieure) le 13 novembre 1864, il était négociant à Rouen.

Le 4 février 1834, il fut élu député du 3e collège de la Seine-inférieure (Rouen) par 235 voix (424 votants, 541 inscrits) contre 185 à M. Treilhard, en remplacement de M. Bernard Cabanon démissionnaire. Il siégea dans les rangs de la majorité, mais pour peu de temps, car il échoua, aux élections générales du 21 juin suivant, avec 225 voix contre 233 à l'élu, M. Jacques Laffitte.

Il rentra au parlement le 20 janvier 1846, comme l'élu du 1er collège du même département (Rouen), par 544 voix (1,042 votants, 1,125 inscrits), en remplacement de M. Pierre Cabanon démissionnaire, reprit sa place parmi les députés conservateurs, obtint sa réélection le 1er août suivant, par 532 voix (1,051 votants, 1,132 inscrits), contre 487 à M. de la Germonière, soutint la politique du cabinet Guizot, et quitta la vie politique à la révolution de 1848.

Chevalier de la Légion d'honneur en 1834, il a été promu au grade d'officier le 1er mai 1838. Conseiller général de Seine-Inférieure de 1831 à 1842.

Date de mise à jour: janvier 2017