Louis, Germain Duplan
1759 -
- Informations générales
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- Né le 26 mars 1759 à Samatan ( - Généralité d'Auch et Pau France)
- Décédé à une date inconnue
Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés
- Régime politique
- Seconde Restauration - Chambre des députés des départements
- Législature
- IIe législature
- Mandat
- Du 13 novembre 1820 au 1er mai 1822
- Département
- Gers
- Groupe
- Droite
- Régime politique
- Seconde Restauration - Chambre des députés des départements
- Législature
- IIe législature
- Mandat
- Du 9 mai 1822 au 24 décembre 1823
- Département
- Gers
- Régime politique
- Seconde Restauration - Chambre des députés des départements
- Législature
- IIIe législature
- Mandat
- Du 25 février 1824 au 5 novembre 1827
- Département
- Gers
- Groupe
- Droite
Biographies
Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)
Député de 1820 à 1827, né à Samatan (Généralité d'Auch et Pau) le 26 mars 1759, mort à une date inconnue, il était juge de paix à Samatan.
Il fut, la 13 novembre 1820, élu député du Gers, au collège de département, par 164 voix (251 votants et 281 inscrits); puis réélu successivement, le 9 mai 1822, par le 3e arrondissement du Gers (L'Isle-Jourdain), avec 166 voix sur 310 votants et 374 inscrits ; contre 140 à M. Daurignac, et, le 25 février 1824, avec 192 voix sur 323 votants et 422 inscrits, contre 123 à M. Molas-Labarthète, il vota avec la droite.
« On dit, écrivait un biographe parlementaire, que M. Duplan s'est trouvé un peu dépaysé, lorsque le vote de ses concitoyens le fit passer tout à coup, et sans intermédiaire, du modeste siège de la justice de paix sur les bancs de la Chambre. Cependant, il s'est rassuré, mais il n'ose pas encore aborder la tribune ; il a toujours peur qu'on n'oppose des fins de non-recevoir à ses discours, ou qu'on lui prouve qu'il n'est pas compétent, ou bien encore qu'un préopinant bourru, venant à le débusquer, ne lui fasse faire une descente de lieux: et la seule chose qui fait qu'il vote quelquefois pour M. de Villèle, c'est qu'il craint que ce ministre le prenne à parti. »
Il ne se représenta pas en 1827.