Henri Bourlois

1893 - 1978

Informations générales
  • Né le 9 juin 1893 à Puteaux ( - France)
  • Décédé le 11 décembre 1978 à Asnières (Hauts-de-Seine - France)

Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés

Régime politique
Troisième République - Chambre des députés
Législature
XIIIe législature
Mandat
Du 11 mai 1924 au 31 mai 1928
Département
Seine
Groupe
Communiste

Biographies

Né le 9 juin 1893 à Puteaux (Seine).

Député de la Seine de 1924 à 1928.

Ouvrier mécanicien Henri Bourlois, fut séduit très tôt par la doctrine marxiste-léniniste, et s'en fit le propagandiste dans le milieu ouvrier où il vivait.

Inscrit après la première guerre mondiale au parti communiste français, il se présenta aux élections générales du 11 mai 1924, dans la quatrième circonscription de la Seine, sur la liste du bloc ouvrier-paysan. Il fut élu par 105.404 voix sur 334.618 suffrages exprimés.

Inscrit au groupe communiste, il appartint à la Commission des régions libérées et à celle des douanes et des conventions commerciales. Il fit ses débuts à la tribune en interpellant le gouvernement sur les événements de Bobigny (1924), attaqua la justice militaire au cours de la discussion du budget de la guerre de l'exercice 1926 (1925) et demanda à interpeller sur les sanctions à prendre à la suite des faits qui se déroulèrent à Puteaux, ou un agent blessa grièvement, d'une balle de revolver, un ouvrier mutilé de guerre (1927).

Il s'intéressa également à l'équilibre du budget de l'exercice 1926, et à la taxe sur les objets perdus et retrouvés (1926).

Il ne se représenta pas aux élections. générales de 1928, et reprit ses occupations à Puteaux où il réside à l'heure présente.





Né le 9 juin 1893 à Puteaux (Hauts-de-Seine)

Décédé le 11 décembre 1978 à Asnières (Hauts-de-Seine)

Député de la Seine de 1924 à 1928

(Voir première partie de la biographie dans le dictionnaire des parlementaires français 1889-1940, tome II, p. 727)

Retiré de la vie politique, Henri Bourlois demeure fonctionnaire de la ville de Clichy. Il y milite à Force ouvrière, dont il devient, en 1948, le secrétaire-adjoint pour les employés communaux de cette ville.