Jean-Jacques, Justin de Lacombe

1795 - 1851

Informations générales
  • Né le 16 mai 1795 à Gaillac (Tarn - France)
  • Décédé le 3 octobre 1851 à Gaillac (Tarn - France)

Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés

Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
IIIe législature
Mandat
Du 21 juin 1834 au 3 octobre 1837
Département
Tarn
Groupe
Majorité conservatrice
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
IVe législature
Mandat
Du 4 novembre 1837 au 2 février 1839
Département
Tarn
Groupe
Majorité conservatrice
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
Ve législature
Mandat
Du 2 mars 1839 au 12 juin 1842
Département
Tarn
Groupe
Majorité conservatrice
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
VIe législature
Mandat
Du 9 juillet 1842 au 6 juillet 1846
Département
Tarn
Groupe
Majorité conservatrice
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
VIIe législature
Mandat
Du 1er août 1846 au 24 février 1848
Département
Tarn
Groupe
Majorité conservatrice

Biographies

Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)

Député de 1834 à 1848, né à Gaillac (Tarn) le 16 mai 1795, fils de Jean Pierre Benoît Lacombe, négotiant, et de Margueritte Rose Jeanne Palafré, mort à Gaillac le 3 octobre 1851, propriétaire, maire de sa ville natale, il débuta dans la vie parlementaire le 21 juin 1834, ayant été élu député du 4e collège du Tarn, par 202 voix (383 votants, 505 inscrits), contre 169 à M. d'Yversen. Il siégea au centre, vota pour les lois de septembre 1835, et opina constamment avec la majorité conservatrice.

Il obtint successivement sa réélection :
- le 4 novembre 1837, par 340 voix (458 votants, 577 inscrits), contre 113 à M. d'Hutteau ;
- le 2 mars 1839, par 373 voix (387 votants) ;
- le 9 juillet 1842, par 296 voix (303 votants, 600 inscrits),
- et, le 1er août 1846, par 293 voix (485 votants, 620 inscrits), contre 132 à M. de Tounac de Villeneuve.

M. de Lacombe se montra, suivant l'expression d'un biographe, « un des centriers les plus fidèles » à la politique de Guizot, et se prononça notamment pour l'indemnité Pritchard et contre toute réforme électorale.

Son rôle, à la Chambre, fut d'ailleurs assez effacé.

Fait chevalier de la Légion d'honneur le 30 avril 1840, il en est devenu officier le 25 décembre 1846.

Date de mise à jour : janvier 2014