Réunion du Groupe d'amitié France-Arménie du 7 octobre 2020

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Réunion du Groupe d'amitié France-Arménie

7 octobre 2020

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Réunion du groupe d’amitié France–Arménie

7 octobre 2020

Participaient à la réunion : 

Jacques Marilossian, président du groupe d’amitié ; Guillaume Kasbarian, Jean-Michel Mis et François Pupponi, vice-présidents ; Vincent Bru, Émilie Chalas, Mireille Clapot, Bernard Deflesselles, Nadia Essayan, Camille Galliard-Minier, Florence Provendier, Thomas Rudigoz, députés.

Le groupe d’amitié France–Arménie a fait un point sur les dernières évolutions dans le Haut-Karabagh suite à l’attaque de l’Azerbaïdjan. L’initiative d’un communiqué conjoint avec le groupe d’amitié France–Azerbaïdjan pour appeler à un cessez-le-feu et au retour des négociations a été accueillie favorablement par les députés. Par ailleurs, la question de l’intégration d’autres groupes – comme le groupe France-Turquie – a également été soulevée. À cette occasion, le président Jacques Marilossian a rappelé que le groupe de Minsk, mis en place en 1992 par l’OSCE autour de la France, la Russie et les États-Unis d’Amérique, a permis d’éviter le retour de la guerre dans cette partie du Caucase au cours des vingt-six dernières années.

Les députés ont également exprimé leur souhait de se rendre en Arménie avant le mois de décembre pour rencontrer les représentants du parlement et du gouvernement arméniens. Ce déplacement serait alors l’occasion de tenir une réunion conjointe des groupes d’amitié arménien et français. D’ici là, les députés, membres du groupe d’amitié, souhaitent échanger avec leurs homologues de l’Assemblée arménienne par visioconférence.

Un point a été fait sur les initiatives du groupe d’amitié pour l’année 2021 qui marquera notamment le 30ème anniversaire de l’indépendance de la République d’Arménie, consécutive à la dissolution de l’Union soviétique. Par ailleurs, l’organisation d’une rencontre avec les étudiants originaires d’Arménie et du Haut-Karabagh a été évoquée, afin que ces derniers puissent faire part de leurs expériences et des éventuels freins à l’installation en France.