André, Joseph, Alexandre, François Burlot
1897 - 1979
Né le 6 août 1897 à Saint Brieuc (Côtes-du-Nord)
Décédé le 25 août 1979 à Paris
Membre de la seconde Assemblée nationale Constituante (Loir-et-Cher)
Député du Loir-et-Cher de 1946 à 1955
André Burlot est né le 6 août 1897 à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord). Son père, Joseph Marie Théophile Burlot, était employé des P.T.T. et sa mère entrera également dans les P.T.T. après le décès de son mari. La famille s'installe alors à Rennes (Ille-et-Vilaine), où André Burlot obtient une bourse lui permettant de suivre l'enseignement secondaire.
Engagé à Rennes en 1915, André Burlot est adjudant à Fontainebleau, et deviendra lieutenant (1921) puis capitaine de réserve (1926). Il est titulaire de la Croix de Guerre (1914-1918) avec quatre citations. Démobilisé le 23 octobre 1919, il entreprend à Paris un cursus d'études supérieures. Reçu à l'Ecole polytechnique (promotion 1919), il passe une licence en droit, et, devenu ingénieur, s'oriente bientôt vers une carrière d'administration des entreprises. Le 27 novembre 1922, il épouse à Richelieu (Indre-et-Loire) Jeanne Marie Louise Radegonde Lelarge, fille d'un greffier de paix. C'est l'origine de l'implantation d'André Burlot en Touraine.
André Burlot est membre agréé, puis secrétaire général de l'Institut des actuaires français, mais occupe surtout, à partir de 1943, le poste de président-directeur général des compagnies du groupe d'assurances la Paternelle. Il est également administrateur de la Concorde, de la Prévoyance, de la Société générale des cirages français, de la Compagnie générale de construction téléphonique, de Socantar, du Crédit foncier et immobilier, de la Compagnie générale de transports en Afrique, de l'Auxiliaire des charbonnages du Tonkin, et du Ciment français.
André Burlot conduit la liste présentée par le M.R.P. dans le Loir-et-Cher, pour les élections du 2 juin 1946 à la seconde Assemblée nationale Constituante. Sa liste recueille 20 909 voix sur 125 340 suffrages exprimés, et il est élu. Il est nommé membre de la Commission des finances et du contrôle budgétaire (26 juin 1946), et participe notamment à la discussion du projet de loi relatif à l'aide de l'Etat aux catégories sociales économiquement faibles (10 et 11 septembre 1946).
A nouveau tête de liste aux élections législatives du 10 novembre 1946, il est réélu avec 20 411 voix sur 118 879 suffrages exprimés.
Très actif, André Burlot est membre de nombreuses commissions parlementaires, où l'appellent souvent ses compétences professionnelles : finances et contrôle budgétaire (1946, 1948, 1950, 1951), comptabilité (1948, 1949), réforme administrative (1947). Il est désigné par la Commission des finances pour faire partie de la sous-commission chargée de suivre et d'apprécier la gestion des entreprises industrielles nationalisées et des sociétés d'économie mixte (1950, 1951), et est en outre nommé juré à la Haute Cour de justice (1947, 1948).
Au cours de cette législature, André Burlot dépose un très grand nombre de textes : propositions de loi ou de résolution et rapports dont la majorité traitent des problèmes monétaires ou financiers, du régime des compagnies d'assurances, et du système d'imposition. Il intervient en outre très largement dans les discussions parlementaires, notamment autour de ces mêmes problèmes. Après l'élimination de la candidature de Georges Bidault, André Burlot vote, le 12 décembre 1946, pour celle de Léon Blum comme président du gouvernement provisoire de la République. Le 4 mai 1947, il se prononce pour la confiance au gouvernement de Paul Ramadier (vote à la suite duquel ce dernier se séparera de ses ministres communistes).
Le 24 juillet suivant, André Burlot intervient longuement sur la proposition de résolution tendant à la nomination d'une Commission exceptionnelle de la Réforme administrative. Les causes de la médiocre administration sont, selon lui, d'abord à rapporter à de trop fréquents changements des hommes, et à une politisation des nominations : « chaque fois que l'on change un cadre, celui-ci, qui a sa clientèle de fonctionnaires, l'amène avec lui, mais on ne remplace pas pour cela la clientèle ancienne du prédécesseur (...). La deuxième raison (...), c'est que nous-mêmes légiférons un peu trop. On ne peut qu'être étonné de l'imagination des parlementaires. Quand on considère les textes qui nous sont distribués quotidiennement, on imagine que jamais l'administration ne pourra les absorber (...) ». L'instabilité ministérielle, les crises gouvernementales et les transferts de services, enfin, sont une cause essentielle de paralysie : « on transfère les services d'un ministère à l'autre. C'est ainsi que, pendant quelques mois, le service des poudres n'a pas su de quel ministère il dépendait (...). Le Français ne sait plus où s'adresser quand il a une question à poser à l'administration (...). Il est obligé de circuler de bureau en bureau, quand ce n'est pas d'immeuble en immeuble... ».
Enfin, le 27 août 1947, il se prononce pour l'adoption du projet de loi sur le statut de l'Algérie. Dans les séances du 10 février 1948 et des jours suivants, André Burlot intervient sur la question de la dévaluation des francs coloniaux et est, le 22 juin 1948, rapporteur pour avis du projet de loi relatif au Fonds d'investissement pour le développement économique et social des territoires d'outre-mer (F.I.D.E.S.).
André Burlot est également rapporteur pour avis, le 26 août 1948, du projet de loi portant retrait du privilège d'émission de la Banque d'Indochine, et, le 21 juin 1949, il interpelle le gouvernement sur « la politique économique et financière dans les territoires d'outre-mer, et plus spécialement sur les conséquences économiques et sociales que peut avoir le développement actuel de l'inflation... ».
Le 4 janvier 1950, il s'abstient sur le projet de loi relatif aux conventions collectives puis le 29 novembre suivant, il est rapporteur du projet de loi portant réorganisation du régime d'émission à Madagascar. Le 7 mai 1951, il vote pour le projet de réforme électorale établissant le scrutin départemental de liste à un tour majoritaire et instituant le système des apparentements.
En décembre 1949, André Burlot crée le périodique La Voix du Loir-et-Cher, qui paraîtra jusqu'en 1967.
André Burlot conduit la liste d'Union des Républicains démocrates et du Mouvement républicain populaire dans le Loir-et-Cher, aux élections législatives du 17 juin 1951. Cette liste a conclu un apparentement avec la liste d'Union des indépendants, des paysans et des républicains nationaux, et avec la liste du Parti socialiste S.F.I.O. Ses engagements électoraux insistent sur l'inutilité d'un éventuel appel au Général de Gaulle « pour que toutes les difficultés soient surmontées », et sur la crainte que ne s'instaure avec lui un « régime autoritaire ».
Au niveau national, le M.R.P. est le grand vaincu des élections, perdant plus de la moitié des électeurs de 1946 mais dans son département, André Burlot rassemble sur son nom 19 376 voix sur 115 689 suffrages exprimés soit 16,7 % alors que la moyenne de sa liste n'atteint que 15,9 %. Bien qu'arrivée en quatrième position elle obtient un élu grâce au système des apparentements.
Toujours actif, il est nommé membre de la Commission des finances (1951, 1953, 1954, 1955) qui le délègue pour la représenter au sein du Comité directeur du F.I.D.E.S. (1951) ainsi qu'à la sous-commission chargée de suivre et d'apprécier la gestion des entreprises nationalisées et des sociétés d'économie mixte (1951, 1953, 1954, 1955).
Le 3 août 1951, André Burlot dépose une proposition de loi portant modification de l'organisation de la sécurité sociale. Mais, surtout, il tend de plus en plus à se spécialiser dans les questions financières relatives à la France d'Outre-mer, et est notamment à plusieurs reprises le rapporteur du budget de la France d'Outre-mer (exercices 1952, 1953-1955). Le 13 décembre 1951, André Burlot vote pour l'adoption du projet relatif au pool charbon-acier, puis, le 27 octobre 1953 pour l'ordre du jour gouvernemental déposé en conclusion des interpellations sur l'Indochine.
Il s'oppose au cessez le feu (9 mars 1954) et maintient sa confiance au gouvernement Laniel après Diên Biên Phu (13 mai ) et le 12 juin 1954 (chute de Laniel). Il s'abstient volontairement sur l'investiture de Pierre Mendès-France (17 juin) et sur les accords de Genève (23 juillet), s'oppose à l'adoption de la question préalable sur la C.E.D., ratifie les accords de Londres (12 octobre) et de Paris (29 décembre 1954) mais refuse la confiance au gouvernement le 4 février 1955 (chute de Pierre Mendès France). Il vote la confiance à Edgar Faure (23 février), l'état d'urgence en Algérie et pour le gouvernement le 29 novembre (chute d'Edgar Faure).
André Burlot conduit à nouveau la liste d'Union présentée par le Groupement des républicains démocrates et le M.R. P dans le Loir-et-Cher, aux élections du 2 janvier 1956 pour la troisième législature. Mais, avec 14 798 voix sur 125 284 suffrages il n'est pas réélu.
André Burlot était officier de la Légion d'honneur. Il est décédé à Paris le 25 avril 1979.
BURLOT (André, Joseph, Alexandre, François)
Né le 6 août 1897 à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord)
Décédé le 25 août 1979 à Paris
Député du Loir-et-Cher de 1946 à 1955 et de 1958 à 1962
André Burlot naît le 6 août 1897, dans une famille bretonne implantée à Châteaulin. Son père, Joseph, est receveur des Postes, institution que sa mère, Aimée, rejoindra comme employée, à la mort prématurée de son mari. Elève des écoles communales de sa ville natale, André Burlot devient boursier au lycée de Rennes, à la disparition de son père. Il accomplit alors de brillantes études, à la suite de l’obtention de deux baccalauréats (Mathématiques élémentaires et Philosophie – Langues vivantes). Licencié en droit, il entre à l’Ecole Polytechnique. Ingénieur, il est admis à l’Institut des Actuaires français dont il devient un membre agréé.
Cinq mois après les débuts de la Grande Guerre, André Burlot s’engage volontairement à Rennes, en janvier 1915, à l’âge de 17 ans. Il combat du 20 mars de la même année au 23 octobre 1918. Blessé deux fois et titulaire de quatre citations, il est officier de la Légion d’honneur, à titre militaire. Aspirant à Fontainebleau, il devient lieutenant de réserve, de 1921 à 1926. Entre-temps, il a épousé Jeanine Lafarge, le 27 novembre 1922 à Richelieu, en Touraine. De cette union naissent trois enfants : Yves, en 1923, et les jumelles Nicole et Annie, en 1926.
André Burlot accomplit l’ensemble de sa carrière professionnelle dans plusieurs sociétés d’assurances. Actuaire adjoint à la compagnie Le Phénix, à son entrée dans la vie active en 1921, il est cofondateur et directeur général de la compagnie La Paternelle, successivement dans les branches Vie (1928), Accidents (1930) et Incendie (1934). A cette date, il devient Président de la compagnie.
Capitaine de réserve, il est affecté, dès 1939, à l’Etat-major des armées, à la section du chiffre et de la cryptographie. Il est expert auprès de la commission d’Armistice en 1940. Au sortir du second conflit mondial, il crée un organe de presse, La Voix du Loir-et-Cher, en décembre 1949.
L’après-guerre est aussi le temps de son engagement politique. André Burlot entre au Palais-Bourbon, lors des élections à la deuxième Constituante, et reste député du Loir-et-Cher, de juin 1946 à décembre 1955. Il tente en vain d’entrer au Sénat, au mois de juin 1955 [Voir Dictionnaire des parlementaires de la Quatrième République, tome 1]. Après son échec aux élections législatives de janvier 1956, il est réélu à l’Assemblée nationale, toujours sous les couleurs du Mouvement Républicain Populaire (MRP), à l’occasion du premier scrutin législatif de la Cinquième République, le 30 novembre 1958. Il a choisi d’être candidat dans la première circonscription de Blois, qui regroupe les deux cantons de la ville, ainsi que ceux de Contres, Herbault, Mer et Montrichard. Il lui faut affronter un premier tour difficile, en face du député sortant, l’ancien ministre Robert Bruyneel, qu’il ne devance que de 4 000 voix. Secondé par son suppléant Marcel Bühler, retraité du ministère des anciens combattants et adjoint au maire de Blois, il bénéficie, au second tour, du bon report des voix de son principal concurrent, et bat nettement le candidat communiste, Robert Levasseur, en obtenant trois fois plus de suffrages que lui.
A l’Assemblée nationale, André Burlot est nommé membre de la commission des finances, de l’économie générale et du plan, et y siège durant les cinq années de son mandat. Au fil de la législature, il appartient à cinq autres structures extraparlementaires, souvent en lien avec les activités ultramarines dont il devient un des spécialistes. Le 15 octobre 1959, puis le 30 juin 1960, il est nommé membre du comité directeur du fonds d’investissement des départements d’outre-mer ; le 26 avril 1960, il est membre titulaire du comité directeur du fonds d’investissement pour le développement économique et social des territoires d’outre-mer. Enfin, le 9 mai 1961, il entre à la commission spéciale chargée d’examiner la proposition de loi relative aux filiales d’entreprises publiques. Au cours de son mandat, André Burlot dépose une proposition de loi et une proposition de résolution, toutes deux visant à améliorer la qualité des vins et à renforcer la lutte contre l’alcoolisme. Par ailleurs, il signe cinq rapports sur des projets de loi de finances ayant en commun la spécificité budgétaire de l’Outre-mer : c’est vrai de l’administration des services de la France d’Outre-mer, le 28 octobre 1959, du projet de loi de programme pour les territoires d’Outre-mer, le 25 avril 1961, du budget de la coopération, le 10 octobre 1961, du budget des DOM-TOM, le 10 octobre 1961, ou de son rapport sur les aménagements du régime économique et fiscal des rhums et alcools à brûler dans les DOM (5 juin 1962).
Au cours de cette législature, l’activité du député blésois est très soutenue, puisqu’il prend part à la discussion de dix-huit textes différents. Le thème de l’Outre-mer domine ses nombreuses interventions. Il prend la parole, tout d’abord, sur les questions fiscales, comme rapporteur spécial des services du Premier ministre dans les collectivités d’Outre-mer, le 21 novembre 1959, puis les 6 et 8 novembre 1960. Le député du Loir-et-Cher fait valoir longuement ses observations, dans le projet de loi relatif aux aménagements fiscaux dans les départements d’Outre-mer. Il insiste notamment sur la nécessité d’encourager les capitaux métropolitains à s’investir dans les départements ultramarins et voit dans le développement des investissements nouveaux une nécessité, pour faire face à l’accroissement de la population. Au cours de ces débats sur la question de l’Outre-mer, il reste très attaché à la recherche de débouchés pour les productions des départements éponymes. Il attire d’ailleurs l’attention des pouvoirs publics en souhaitant la formation, dans les départements d’Outre-mer, de techniciens capables de promouvoir eux-mêmes la politique d’expansion nécessaire. C’est fort de son engagement sur ces questions qu’André Burlot devient rapporteur du projet de loi de programme relatif à l’organisation des DOM-TOM, texte qu’il défend les 29 et 30 juin 1960, puis le 27 avril 1961. Il insiste alors sur l’urgence d’une véritable expansion économique pour les territoires d’Outre-mer, qui doit passer par l’investissement. C’est une des raisons pour lesquelles André Burlot n’aura de cesse de promouvoir les encouragements fiscaux consentis par la métropole pour favoriser l’arrivée des capitaux privés, notamment en Polynésie. Il propose enfin l’octroi d’un crédit échelonné sur trois ans, dont l’affectation serait faite au développement de l’économie, à l’équipement dans le domaine social et à la poursuite des recherches agricoles et minières.
Enfin, rapporteur spécial du budget du ministère de la Coopération pour 1962, il revient largement sur la politique de la France d’Outre-mer. Faisant valoir que l’accroissement sensible des crédits de paiement résulte essentiellement de l’application des lois de programme qu’il a rapportées, il insiste sur l’aide accrue à donner à cette partie du sol français dont la population augmente à un rythme important. Une de ses dernières initiatives de la législature, en novembre 1961, vise à promouvoir la création de filiales de sociétés métropolitaines, dans le but de l’accueil et de la réinsertion des Français d’Outre-mer. Son intérêt pour la France coloniale le conduira à déposer et à défendre, sur ces divers textes, dix amendements et onze articles additionnels, en plus des six rapports et rapports spéciaux qu’il signe. Le 19 juin 1949, il est aussi à l’origine d’une question orale posée au ministre des finances et des affaires économiques, relatives aux emprunts des collectivités locales.
Finalement, les autres sujets d’intérêt de celui qui fut aussi sénateur de la Communauté, de juillet 1959 à mars 1961, n’ont été exprimés que dans le temps réduit que sa passion pour l’Outre-mer lui a laissé pour l’étude des autres sujets. En novembre 1959, il a pris part à la discussion du budget du ministère de la santé publique et de la population, en soulignant l’insuffisance de l’aide accordée aux aveugles et aux grands infirmes civils. Quelques semaines plus tard, le 18 décembre 1959, il intervient dans le débat, en deuxième lecture, du projet de loi visant à modifier l’ordonnance qui met en place le « nouveau Franc ». Le 23 novembre 1960, il prend la parole dans la discussion du projet de loi relatif aux assurances sociales agricoles. Enfin, le 23 juillet 1962, il pourfend la création des grandes sociétés d’investissement immobilier, dans le cadre du projet de loi portant réforme de l’enregistrement, du timbre et de la fiscalité immobilière. Au cours de ce mandat, André Burlot est fidèle à l’action du gouvernement. Les 16 janvier et 15 décembre 1959, il approuve respectivement le programme et la déclaration de politique générale du gouvernement dirigé par Michel Debré. Le 23 décembre 1959, il ne prend pas part au vote du projet de loi sur l’enseignement privé. En revanche, il vote pour le projet de loi sur les pouvoirs spéciaux, le 2 février 1960 et pour la réforme constitutionnelle du 11 mai 1960. Le 27 avril 1962, il accepte le programme du gouvernement Pompidou, mais vote la motion de censure, le 4 octobre suivant.
A l’occasion du scrutin législatif de 1962, à la suite de la dissolution de l’Assemblée nationale par le général de Gaulle, le député sortant de la première circonscription du Loir-et-Cher et son suppléant devenu maire de Blois sont battus de 3 000 voix au second tour, par le gaulliste, Roger Goemaere. André Burlot quitte alors la vie publique, en poursuivant son activité professionnelle liée aux sociétés d’assurances. Secrétaire général de l’Institut des Actuaires français, il préside La Paternelle jusqu’en 1967. Il est, par ailleurs, membre de plusieurs conseils d’administration d’autres sociétés, à l’instar de ceux de La Concorde, de La Prévoyance, ou de La société générale des cirages français.
André Burlot disparaît le 25 août 1979.